Les points essentiels à savoir sur la défiscalisation immobilière

L’immobilier intègre très rapidement la ligne de compte quand vous désirez diminuer vos impôts. Miser dans l’immobilier permet effectivement bien fréquemment de profiter de diminutions d’impôts attrayantes. Qu’il s’agisse de votre résidence secondaire ou votre résidence principale, vous pouvez dénicher avec simplicité un outil qui vous est adapté. Quand on réfléchit à « défiscalisation immobilière » on réfléchit avant tout à la loi PINEL. Toutefois, cet outil est loin de sembler l’unique présent.

Description de défiscalisation immobilière

Par défiscalisation immobilière, on parle de la totalité des dispositifs frayant le chemin à une diminution fiscale présente dans le domaine immobilier. Qu’il s’agisse de locataire ou propriétaire de logement, quelques dépenses ou frais sont appropriés pour la défiscalisation. La condition est qu’elles participent par exemple à la perfection de l’état du logement (CITE, éco-Prêt à Taux Zéro).

Sans oublier le renouvellement d’un vieil immeuble (loi Malraux) ou le recouvrement des frais de remise en état lors du départ impromptu d’un(e) locataire. Il y a beaucoup à dire, mais il faut avouer que la pierre représente la méthode la plus pratique afin d’assurer des revenus fonciers supplémentaires. Cela se passe dans un cadre socio-économique où les perspectives de ressources, particulièrement au moment de la retraite, restent assez indéchiffrables.

L’emploi du déficit foncier pour diminuer ses impôts

Un déficit foncier voit le jour quand vos consommations sur un logement locatif surpassent celles qu’il vous rend. Il peut s’agir de charges de copropriété, d’entretien, de travaux de réparation, d’intérêts d’emprunt, de primes d’assurances… Le bon côté ? Une part de ce déficit peut être tirée de vos revenus assujettis à l’impôt. Quelques consommations autorisent une déduction. Avec bonheur, vos frais d’entretien et de rénovation font partie de cette classification ! C’est aussi la situation pour :

  • la taxe foncière ;
  • les primes d’assurance ;
  • les provisions pour consommations, faisant partie ou pas du budget prévisionnel décidé par la copropriété. Le tout est soustrait de la somme des provisions tirées l’année d’avant équivalant à des charges non déductibles ;
  • les frais de concierge et de gardiennage ;
  • les intérêts de dettes conquises pour l’acquisition, la conservation, la réparation, la construction ou le perfectionnement des propriétés.

Loi Denormandie

À partir du 1er janvier 2019, la loi Denormandie (selon Julien Denormandie, le ministre de la Ville et du Logement) vient remplir la vieille loi Pinel. Elle vise aussi à changer le dispositif Cosse « louer abordable ». Ce récent dispositif d’investissement locatif incite les travaux de rénovation dans des endroits comportant plusieurs logements en mauvais état ou vacants.

Dédiée à l’investissement locatif, la loi Denormandie touche les acquisitions dans le vieux avec mise en location. Elle est dédiée aux particuliers, mais aussi aux promoteurs immobiliers qui veulent acheter un bien immobilier rénové. Elle fraye un chemin à la même diminution d’impôt qu’un vieux placement Pinel.